Solène Rolland créée des collections de bijoux et d’objets d’usage luxueux (Coupelles, marques pages, coupes papier, portes encens…), en laiton ou cuivre, réalisées à la main.
Au travail du métal pratiqué selon les techniques traditionnelles de la bijouterie et de l’orfèvrerie, elle associe celui du verre à la flamme et de la laque qui apportent couleurs et diversité à ses créations.
Ses objets sont richement ornés par des motifs gravés à l’eau forte, un savoir faire devenu depuis sa marque de fabrique.
L’Atelier de Salem propose également des pièces d’exception, sculptures et bijoux muraux combinant différents matériaux : Au laiton découpé, ajouré ou gravé, sont mêlés les bois précieux, la laque, le verre filé ou soufflé, le cuivre, ou les pierres fines.
Récemment une formation en dinanderie a permis à la jeune créatrice d’étendre ses domaines de compétence au travail du martelage, de l’emboutissage ou de la rétreinte, pour la réalisation de pièces de plus grandes dimensions et une matière métal sublimée.
L’atelier de Salem se définit par une approche contemporaine des métiers d’art, associant variétés d’inspirations, techniques multiples et association des matériaux, dans une recherche constante d’expérimentations, pour des créations poétiques d’une grande beauté.
Collaboration avec Nathalie ROLLAND HUCKEL pour l’exposition Trésor[s], à redécouvrir le mois prochain du 26 Novembre au 5 Décembre, à la Villa Tschaen, à Colmar.
Comme un cabinet de curiosité contemporain l’installation « le bestiaire minuscule » invite le spectateur à découvrir des jeux de formes, de couleurs, de textures inspirées par le monde des insectes.
Les multiples modules sont autant d’interprétations graphiques des corps des scarabées, mais aussi des ailes chamarrées des libellules et des papillons.
On s’attache à montrer les détails magnifiques de ce microcosme secret et foisonnant, habituellement si peu visible par l’œil humain et révéler la capacité de la nature à créer de la beauté.
La nature règne ici en artiste et l’insecte devient bijou à l’image de ces coléoptères vénérés en Haute Égypte.